La voie des anciens...

Alors que le village se rebâtissait tranquillement en suivant les instructions des nains pour que l'endroit ressemble le plus possible a ce que s'eu été jadis, mais encore plus grandiose, un mage marchait sur les sentiers de terres battu.

Il pouvait voir les gens heureux et minutieux autant dans ce qu'ils faisaient que le reste. Il pouvait comprendre que cet Empereur avait eu un bon temps de règne par le passé et depuis son retour, tous savaient que la vie allait être meilleure que jamais. Pourtant, seul dans les livres d'histoires ont comptaient ses exploits et la vie antérieur du continent ainsi que du peuple des hommes.

Depuis la destruction du mur sur l'autre continent, l'elf n'avait plus de nouvelle de sa mentor. Elle s'était sacrifiée a la tâche, alors que sa remplaçante ne pouvait quitter le port pour le rejoindre. Cependant, aujourd'hui, il reçu quelque chose...

Sur ce continent, près de la mer, il n'y avait pas d'hiver. La température était fraiche a ce temps-ci de l'année, mais le soleil était bien présent. Un jeune garçon arriva en courant vers notre héro, essoufflé

-Monsieur !?

Alors qu'il se retourna vers le messager, il lui tendit une missive

-J'ai ceci pour vous !

Il reprit son souffle doucement et attendit que le mage prit la lettre et la lu

''J'ai confiance qu'en Itariaa vous trouverez ce dont vous cherchez. Vous n'avez plus besoin de moi.
Que la connaissance guide vos pas
Votre mentor ''

-Merci, petit.

Dit-il au messager, avant de prendre la lettre et de la lire. Ayant confiance
en ce que son ancienne mentore lui avait dit dans son message, celui que l'on
appellait Merik retourna son attention vers le jeune homme qui lui apporté le
message:

-Y avait-il autre chose?

Le petit avait le regard confiant et se redressa enfin

-Non, monsieur.

Puis,il partit en courant pour sa prochaine course.

-Bon... et maintenant

Laissant sortir un léger soupir, le mage reprit la marche, serant la
lettre dans ses affaires. Au bout d'un moment, il se décida à arrêter
quelqu'un, afin de pouvoir s'informer sur l'endroit:

-Excusez-moi, je ne suis pas du coin... j'aimerais savoir s'il y a une
bibliothèque ou l'équivalent dans le coin?

La personne interpellé se retourna vers Merik

-L'endroit est en reconstruction...A moins d'une autorisation spécial, vous aurez pu essayer dans le château...Autrement, il y aurait le manoir des chevaliers des dragons pourpres qui sont un peu plus dans l'Ouest de la côte. Il ne doit pas avoir grand chose, mais c'est mieux que rien...Sinon, faudrait traverser le pont pour l'ile voisine, chez le seigneur Enzo !

-Hmm... bon, merci. Et ces chevaliers, qui sont-ils?

Demanda t-il, intrigué.

-Hum...Il s'agit d'un ordre spécial qui est dirigé par le seigneur Elvalys.

Il se grata la tête un peu mal a l'aise.

-Je ne sais rien d'autres sur eux, navré.

-C'est bon, merci tout de même.

Dit-il, avant de reprendre son chemin, tranquillement. Hésitant un moment
entre aller au manoir des chevaliers et l'île d'Enzo, le mage se décida enfin à se
diriger vers le pont menant sur l'île.

-J'imagine qu'aucun de vous deux n'êtes éveillés, en ce moment, hein?

Marmona t-il à l'une des bagues qu'il portait et à sa lame, pendant son trajet
vers le pont.

Il n'eu aucune réponse alors qu'il entamait son voyage vers les terres d'Enzo. Il passa devant un manoir en réparation qui avait un baraquement près et un écurie clôturé. Probablement le fameux manoir des chevaliers. Il y avait une personne qui le fixa qui portait un tabard vert foret, noir et mauve. Un jeune homme avec une main de démon et un regard d'un bleu de glace. Des cheveux blonds courts en bataille et des vêtements simples. Dans son dos, il avait une énorme épée d'attaché. Tout les autres qui travaillaient sur le manoir avaient ce même tabard, mais aucun autre avait cette arme et cette main...ou encore ce regard. Lorsqu'il allait avoir terminé de traverser les terres du seigneur Elvalys, il allait entrer sur les plaines marchandes, la ou jadis les marchands, les orcs et les minotaures vivaient. Aujourd'hui, ce n'est plus qu'un large cimetière d'ossements et de tissus.

Remarquant sans misère le jeune homme à la main de démon,
le mage s'arrêta un moment, se demandant s'il avait bien vu.
Laissant de côté, pour le moment, l'idée d'aller vers les terres
d'Enzo, Merik se dirigea plutôt vers le jeune homme qui le fixait:

-Bonjour, jeune homme, peut-être pourriez-vous m'aider? Je ne
suis pas du coin et je cherche un endroit où je pourrais me
documenter... une bibliothèque, ou l'équivalent...

Jettant un coup d'oeil allentour, il ne prit pas de temps à remettre
son attention sur le jeune homme, attendant une réponse de sa
part.

Le jeune chevalier le fixa. Il pouvait sentir son regard l'analyser, puis prit un moment a réfléchir avant de répondre d'une voix profonde

-Il y a la bibliothèque ancestral sur les terres du seigneur Enzo. C'est le plus proche qu'il y a d'encore accessible aux mortels. Voulez-vous un cheval pour vous y rendre plus rapidement ?

Le mage prit un moment avant de répondre au jeune chevalier, certains termes
que ce dernier avait utilisé le rendait quelque peu perplexe. Mais, ne voulant pas en
faire tout un cas, Merik reprit la parole

-Si vous êtes prêt à me laisser un cheval, je le prendrais volontier.

Le chevalier l'amena a l'écurie ou il y avait des chevaux dans tout les boxes. Il y en avait certains différent des autres...Quelques uns avec des ailes et d'autres a la crinière de feu. Il s'arrêta devant le boxe d'un cheval moyen brun.

-Et voila. C'est Lixia. Elle a l'habitude de faire le voyage. Je dois vous prévenir, aucun de nos chevaux ne traverse l'autre côté du pont. Elle va accepter jusqu'au milieu et ensuite, elle ne voudra plus avancer. Elle va revenir de par elle-même jusqu'ici. Pour votre retour, sur le bord du pont, l'autre côté, il y aussi des montures.

Il prit l'équipement de la jument et entra dans le boxe pour la préparer.

Suivant le chevalier jusqu'aux écuries, Merik acquiessait à ce qu'il lui
disait. Il observait les différentes montures, pendant que le jeune homme
s'occupait de Lixia, puis il fini par remettre son attention vers le chevalier:

-Vous m'excuserai si c'est un peu trop indiscret, mais ça m'intrigue
vraiment... votre main... pourquoi est-elle ainsi?

Le chevalier sourit tristement au mage en levant la main pour qu'il la voit mieux, sans l'approcher de celui-ci

-C'est la première fois que vous voyez un chasseur ?

Une lueur rouge et noire passa entre ses griffes telle une petite flamme.

Merik ne put se retenir de remarquer la lueur noire et rouge qui était
apparut entre les griffes du jeune chevalier. Toujours plus intrigué, le
mage retourna son attention sur le regard du jeune homme, avant de
reprendre la parole:

-Non. Je dois avouer que, de mémoire, je n'ai jamais rencontré de
chasseur. Peut-être voudriez-vous m'en parler un peu?

Les flammes s'arrêtent et il prépare doucement Lixia

-Notre ordre sont des chevaliers qui se sont sacrifié corps et âme dans les ténèbres et la corruption pour la cause de la lumière. Nous combattons le feu par le feu...Et nous nous combattons nous-même jusqu'à notre destruction ou notre Echec qui va nous faire tuer. Il n'a aucun retour en arrière dans cette voie. Nous mourrons en tant qu'humain ou en tant que monstre.

Le mage écoutait avec attention ce que lui disait le chevalier, à
propos de son ordre. Puis, toujours intrigué par la main de celui-ci,
Merik lui demanda:

-Depuis combien de temps est-ce que votre main est ainsi?

Continuant d'observer ce qu'il faisait, le mage posa sa main sur
le pommeau de sa lame elfique.

Le chevalier sourit tristement en terminant d'harnacher la jument

-Depuis le jour ou j'ai joint l'ordre, comme chacun de mes confrères et sœurs. Voila, Lixia est prête

Alors que le chevalier lui annonçait que la jument était prête, le
mage s'avança vers celle-ci, prêt à y monter. Après être monté,
Merik tourna le regard vers le jeune homme:

-Merci de bien avoir voulu répondre à mes questions, mais je
crois qu'il est temps que je vous libère de celles-ci...

Lui dit-il, suivi d'un clin d'oeil. Puis, s'avançant vers la sortie de
l'écurie, le mage sembla douter pendant quelques secondes. Il jeta
un coup d'oeil derrière lui, comme s'il voulait demander quelque
chose au chevalier, puis retourna son regard vers l'avant:

-Merci pour le cheval...

Puis il finit par quitter vers les terres du seigneur Enzo.

(J'ai comprit ton message subtile, Nat lol!

: "Lâche tes osti de questions, Bab, pis décriss!" lol!

)

Le chevalier regarda l'elfe et lui sourit doucement

-Bonne route.

Il prit donc la route vers les terres du seigneur Enzo. Il traversa une grande plaine avec des tentes et des enclos démolis ou l'herbe reprenait sa place tranquillement cachant aussi les ossements des créatures qui y vivaient jadis. Il pouvait voir au loin un pont pour traverser un ravin qu'au fond, il y avait de l'eau.

Pendant son trajet, le mage ne manqua pas l'occasion d'observer les
différents endroits qu'il croisait. Puis, remarquant les différentes structures
détruites et les ossements que l'herbe lui laissait voir, il se demanda à quel
point il devait être perdu et distrait pour ne pas en avoir eut vent...
Ensuite vint le pont, à l'horizon, il commençait à être temps...

En espérant pouvoir y trouver quelque chose qui pourra m'aider...

Lixia avança doucement dans l'herbe et finit par arrêter a l'endroit du village de tentes et d'enclos comme si c'était dans ses habitudes de s'y arrêter. Il y avait même un puits de creusé et de passablement en état.

Lixia se mit a brouter l'herbe haute doucement en avança a pas lent. Le soleil se couchait tranquillement vers ce qui est, et il le savait, la mer. La température était un peu plus venteuse et froide du l'approximité du ravin et de l'eau. Avec l'herbe, il était difficile ou il y avait des animaux, mais il devait surement avoir de petits reptiles, rongeurs ou mammifères. Parfois, il pouvait entendre un oiseau chanter ou même le voir passer au vol. Le cheval s'arrêta près du puits ou l'herbe était écrasé comme preuve qu'il y a déjà eu d'autres voyageurs qui ont campé la.

Remarquant que le cheval n'irait pas plus loin, le mage déscendit de celui-ci.
S'assurant que les peu de choses qu'il possédait étaient sur lui, il alla jetter un
coup d'oeil aux allentoura, afin de voir si quelqu'un ou quelque chose s'y trouvait.

-Ça m'a l'air pas mal tranquille...

Se dit-il, à voix basse.
Revenant près du puits, Merik commença à installer ses choses pour la nuit,
car la fatigue commençait à gagner du terrain sur lui...

Alors que le mage se promenait dans les alentours, son pieds accrocha quelque chose dans l'herbe haute qui lui donna un frisson...Quand il baissa la tête, il vit un livre a la reliure noir luisant.